Cultiver et multiplier
le figuier
Fruitier typiquement méditerranéen, le figuier n’est pas un arbre compliqué à cultiver, par ailleurs, il présente une bonne tolérance au froid, ce qui permet son installation dans bien des jardins de l’hexagone. Il nécessitera cependant beaucoup de soleil durant la belle saison pour bien fructifier. Vous trouverez ici tous les conseils pour obtenir de délicieuses figues, mais aussi pour multiplier cet arbre qui se bouture très aisément en automne.

Photo: eHow.com
1 – Description et histoire
Le figuier est un arbre fruitier de la famille des Moracées. Originaire d’Afghanistan et de Syrie, il peut atteindre plus de 5 m de hauteur. Il se développe très bien dans nos régions à condition de l’exposer correctement et de le protéger l’hiver.
Cultivé depuis des millénaires sur les bords de la Méditerranée, le figuier a été l’un des premiers arbres fruitiers cultivé par l’homme. Dans la littérature, notamment dans la Bible, il tient une place aussi importante que celle de l’olivier.
Ce sont les Phocéens qui importèrent le figuier en Provence. Plus tard, les Romains développèrent sa culture jusque dans le nord de la France.
Grand amateur de figues, Louis XIV avait fait planter dans son potager de Versailles plus de 700 figuiers de diverses variétés.
Le figuier se montre rustique jusqu’à -15°C pour les sujets adultes, mais il a besoin de beaucoup de soleil et d’être abrité des vents dominants.En dessous et si de telles températures se maintiennent plusieurs jours, le système racinaire sera détruit.
Une destruction partielle ou totale de l’arbre peut se produire avec des températures comprises entre -10 et -12 °C. Cependant, il faut savoir que le figuier produira des repousses l’année d’après. Toutes les parties de la plante (rameaux, feuilles, fruits) contiennent un latex blanc et irritant. Le figuier peut poursuivre son développement durant 300 ans avant de rendre l’âme.
NB : les températures sont plus ou moins destructrices en fonction de l’exposition de l’arbre, de son implantation et de la façon dont vous aurez cultivé votre figuier. Parmi les variétés les plus résistantes au froid, notez la ‘Pastilière’, la ‘Dorée’, ou la ‘Madeleine des deux saisons’.
En France il est préférable d’opter pour des variétés bifères qui sont autofertiles : les figues de la première récolte nécessitent d’être fécondées, mais pas celles de la seconde.

Photo : Aujardin.info
Bifère ou unifère ?
Il vous faudra aussi choisir entre un figuier unifère ou un figuier bifère. C’est le critère principal surtout pour le jardinier débutant.
Le figuier unifère produit une seule récolte par an d’août à octobre. Selon les variétés, certaines sont plus précoces et d’autres plus tardives. Certaine variétés unifères produisent deux récoltes coup sur coup à en environ un mois d’intervalle, toujours en fin d’été.
Les variétés bifères produisent deux récoltes par an : début juillet et mi-août. Les figues de la première récolte s’appellent les figues fleurs. Elles se mettent en place sur le bois de l’année précédente. On appelle les figues de la deuxième récolte « les figues d’automne » qui poussent sur le bois de l’année, à l’intersection du bois et d’une feuille.
Conseil : dans les régions où les gelées de printemps sévissent en atteignant des températures inférieures à -4 °C, il faudra s’attendre à une récolte de figues fleurs quasiment nulle. Préférez alors une variété unifère, telles la ‘Noire de Barbentane’, la ‘Ronde de Bordeaux’ ou encore la ‘Pastilière’.

Gravure botanique: Pinterest.com
Dimensions : De 4 à 8 m de hauteur selon milieux et variétés.
Croissance : Moyenne.
Silhouette : Port étalé, ou en cépée.
Feuillage : Caduc. Feuilles plus ou moins lobées, de 15 à 25 cm de longueur, rugueuses, vert franc en été, jaunes en automne.
Fleurs : Les figuiers cultivés ne portent que des fleurs femelles.
Fruits : La couleur des figues varie selon les variétés (brun, vert, violet…).
Écorce : grise, lisse même sur les vieux sujets.
Rusticité : moyennement rustique (jusqu’à – 15 °C).
Exposition : plein soleil, en situations abritées en climat frais.
Sol : Tous types de sols, même calcaires, sauf compacts.
Humidité : Bonne résistance à la sécheresse, redoute les terrains trop humides et trop froids.
Sensibilité : Acariens, teignes, psylles, mouche des figues, pourriture des racines en sol trop humide.
2 – Culture et entretien
Le figuier en conteneur se plante d’octobre à avril, hors périodes de gelées. Respectez une distance de 4 mètres minimum entre deux plants de figuiers.
Le figuier préfère une exposition sud ou sud-ouest, on peut profiter d’un mur qui le protégera des vents froids.
Planter un figuier en pleine terre :
• Creusez un trou d’au minimum 50 cm de profondeur et de largeur.
• Retirez les gros cailloux et les racines des adventices.
• Ajoutez au fond du trou du fumier bien composté (1 à 2 pelletées), puis recouvrez de terre afin que les racines ne soient pas en contact direct.
• Recoupez l’extrémité des racines de votre figuier.
• Placer le figuier au centre du trou de plantation, le collet au niveau du sol (ce qui correspond au démarrage des premières ramures).
• Comblez, tassez, puis formez une cuvette au pied de l’arbre et arrosez abondamment (10 à 15 litres d’eau).
• Vous pouvez terminer par une taille des rameaux, à environ 20 cm de l’extrémité.
Arrosez bien votre figuier durant les deux premiers été afin de l’aider à prendre profondément racine. Par la suite, un figuier en pleine terre ne s’arrose plus.
Planter un figuier en bac :

Les figuiers peuvent très bien se développer en bac, néanmoins préférez une variété à petit développement.
Optez pour un contenant de minimum 50 cm de diamètre et profondeur, placez quelques centimètres de graviers ou de billes d’argiles au fond du pot et installez le figuier dans un mélange 1/3 de terre de jardin, 1/3 de terreau de compostage, et 1/3 de sable ou gravillons. Pour se simplifier la vie, un terreau pour agrumes sera parfait.
Entretien des figuiers
La taille est particulièrement recommandée pour les jeunes figuiers afin de favoriser la ramification (intervenez au début du printemps). En avril, pincez les jeunes rameaux (consiste à sectionner l’extrémité des bourgeons avec les ongles).
Faites un apport de fumier, ou de compost au printemps, à renouveler en juin-juillet.
En hiver, protégez le figuier par un bon paillage, et ajouter un voile d’hivernage dans les régions à climat froid.
Pour les plants cultivés en bac, protéger la motte de terre en enveloppant le pot dans du voile d’hivernage.
Un paillage permanent permettra en outre une moindre évaporation de l’eau durant les mois chauds et favorisera la vie du sol.
3 – Maladies fréquentes
Contrairement à la plupart des fruitiers, le figuier est un arbre robuste qui ne demande que très peu de soins :
Son principal ennemi est la teigne. En cas de forte attaque, traitez avec un insecticide organique végétal à base de tabac ou de piment(décoction). Implantez des nichoirs à mésanges, celles-ci contribueront grandement à limiter la propagation de la teigne.
Il n’existe aucun traitement curatif pour le chancre, vous pouvez toutefois effectuer un traitement préventif en appliquant du mastic horticole sur les plaies ou en pulvérisant de la bouillie bordelaise.

Photo : Blogspot.com
Sur la côte sud-est où les hivers sont doux, il existe aussi la mouche de la figue que vous traiterez avec un insecticide végétal naturel 30 à 40 jours avant maturité des fruits.
NB : le mauvais état du feuillage est souvent dû à un problème physiologique : manque ou excès d’eau, brûlures par embruns ou encore déséquilibre minéral.
4 – Multiplication du figuier
Vous pouvez reproduire le figuier en semant des graines. Toutefois, cette technique va produire autant de figuiers mâles aux figues non comestibles, que de figuiers femelles. C’est pour cette raison que cette méthode ne présente aucun intérêt par rapport au bouturage ou au marcottage.
Pour multiplier le figuier, les techniques les plus sûres sont donc le marcottage et le bouturage.
Le marcottage aérien
C’est lorsque l’arbre est bien en sève et que l’écorce se décolle facilement, soit au printemps ou au tout début de l’été que vous devez réaliser l’opération.
-Sélectionnez une branche à multiplier d’un diamètre correct.
-Pratiquez deux incisions annulaires (la lame doit s’enfoncer jusqu’à traverser l’écorce).
-Procédez à une rotation pour former un anneau.
-Veillez à ce que les bords des anneaux soient espacés d’un centimètre au moins.
-Pratiquez l’incision supérieure sous un œil.
-Reliez les deux incisions annulaires par une incision verticale dans l’objectif d’en extraire un anneau.
-Munissez-vous d’un film plastique transparent de forme rectangulaire.
-Entourez-le sur lui-même pour former un manchon.
-Ligaturez la base du manchon. L’anneau débité doit se trouver au milieu du manchon.
-Versez dans le manchon du substrat qui retient l’eau (du terreau pur ou de la sphaigne par exemple).
-Fermez la partie supérieure du manchon à l’aide de ruban adhésif (le substrat doit être maintenu dans un milieu confiné, comme nous !).
-Humidifiez le manchon à l’aide d’une seringue avec une aiguille remplie d’eau.
-Opacifiez le tout à l’aide d’une couche de papier aluminium (ce qui va lui donner une allure de papillote).
-Vérifiez tous les quinze jours l’humidité du substrat et le développement des racines en retirant le papier alu. Si besoin est, réinjectez de l’eau avec la seringue.
-Ne sevrez pas la marcotte aux premières radicelles visibles :
-Sevrez en période de végétation lorsque les racines sont abondantes. Mettez alors la marcotte rempotée à l’ombre et sous cloche, environ deux semaines (le temps qu’elle s’adapte).
-Vous pouvez aussi sevrer l’hiver en période de repos végétatif lorsque les feuilles seront tombées.
-Avant de couper en dessous de la papillote, attendez que le système radiculaire soit suffisamment développé et dense.
Conseil : si vous sélectionnez une branche de faible diamètre, pensez à mettre un tuteur car elle peut casser durant la phase de marcottage.
Le bouturage
C’est en fin d’automne, après la chute des feuilles que le bouturage s’effectue.
-Désinfectez et aiguisez votre sécateur.
-Prélevez des rameaux d’un ou deux ans d’âge et d’une longueur d’une bonne vingtaine de centimètres.
-Conservez une crosse à la base de la bouture en coupant nettement la branche porteuse de part et d’autre du rameau à 1 cm de chaque côté. Vous obtiendrez ainsi une bouture à crossette (en forme de T).
-Stratifiez vos boutures en les plaçant dans une caisse remplie de sable, ou dans de petits contenants de terreau : le bois va se ramollir et les racines vont apparaître.


-Étiquetez l’une des boutures ou le pot pour vous souvenir de la variété
-Humidifiez légèrement le substrat.
-Placez la caisse à l’extérieur et à l’abri des gelées durant tout l’hiver.
-Repiquez les boutures enracinées en mars dans un coin du jardin et dans un mélange composé par moitié de sable et de terreau.

-Pendant toute la saison, arrosez et maintenez humide.
C’est seulement l’hiver suivant que vous pourrez procéder à leur plantation définitive.
5 – Quelques variétés
On compte environ 250 espèces de figuiers cultivées couramment en France et 800 de par le monde, portant 3 variantes de couleurs de fruits : vert-jaune clair à vert foncé, violet à noir foncé et enfin gris à rouge. Voici pour exemple quelques variétés intéressantes .
Figuiers unifères :
-La goutte d’Or : Figues rouges grenat en juin-juillet, puis de août à octobre. De par sa taille il est particulièrement intéressant pour la culture en bac ou dans les petits espaces (2,5 à 4 m).

-Noire de Barbentanne : Figue goûteuse et sucrée. Arbre très vigoureux. Grande taille : 3 à 6 m de haut et 6 à 10 m de large.Période de fructification : Assez précoce : mi-août. Port très décoratif. Idéal pour les grands jardins. Bonne résistance à l’humidité.

-Ronde de Bordeaux : Petite figue à la chair rouge, très bonne qualité gustative. Tout usage : confiture, fruit frais ou fruit sec (séchage facile). Variété précoce, fin juillet-début août dans le sud de la France. Figuier à croissance importante. Pour grand jardin en toutes régions.

-Pastilière : Fruits juteux mais peu sucrés. Taille petite à moyenne. Précoce et abondante la production commence dès début août en Provence. Qualités et usage : Port élégant. Parfait pour les petits jardins. Résistant au froid.

-‘Violette de Solliès’ ou Bourjassotte noire’ : Figue de forme aplatie, très savoureuse. Grand arbre : 3,5 à 6 m de haut sur 3 à 6 m de large, prévoir de l’espace pour son développement ample. Production : De fin août à octobre selon les terroirs. Autofertile. Pour les grands jardins du littoral méditerranéen.

-‘Marseillaise’ : Petite figue verte qui jaunit à pleine maturité, très sucrée, et délicieuse. Figue idéale pour le séchage ou la confiserie. De 3 à 5 m de haut, et maturité tardive, de début septembre à mi-octobre. Figuier exigeant en chaleur, à réserver aux jardins du sud de la France et du littoral atlantique.

Figuiers bifères :
-Noire de Caromb : il produit des figues brun violet en juillet puis en septembre-octobre. Lors de la seconde récolte ses fruits sont très parfumés et peuvent être séchés.

-‘Grisette’ ou ‘Grise de Saint-Jean’ : Figue à chair brun clair à rose. Figuier de taille importante. Production à partir de fin juin en Provence et fin août. Production plus abondante avec les figues fleurs. Sensible au froid, à réserver au sud de la France.

-‘Blanche d’Argenteuil’ ou ‘Blanche de Versailles’ : Figue moyenne à la chair blanche, juteuse. Production en juillet puis septembre (deuxième récolte compliquée dans le nord et en région parisienne). Variété autofertile. Arbre vigoureux, rustique et productif. Pour les régions du nord. À planter à l’abri du vent et exposé au soleil dans ces régions.

-‘Dalmatie’ : Belle figue à chair rouge.
Production en juillet et début septembre. Variété autofertile. Particulièrement adaptée pour la culture en bac. Rustique jusqu’à -15 °C.

-‘Madeleine des deux saisons’ ou ‘Angélique’ : Figue moyenne à grosse à la chair rose et juteuse. Production dès fin juin début juillet. Variété autofertile. Adapté aux régions du nord : résiste bien au froid jusqu’à -15 °C.

🍀Je vous souhaite un vendredi 13 chanceux, et un week-end heureux.🍀
Ben. MASON
Coucou Ben,
Merci pour ton article, j’ai deux énormes figuiers qui donnent comme des malades au jardin, mais à présent je vais savoir comment les bouturer, et en faire des cadeaux sympas pour qui voudra…
Tu penses que je peux faire pareil avec le citronnier ?
J’en ai un énorme qui donne des kilos de citrons, c’est un vrai plaisir et mes amies lorgnent dessus…alors j’aimerais leurs faire des plants 😉
Bonne journée Ben
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Salut Corinne,
Le citronnier peut aussi se bouturer, mais il nécessitera de la poudre d’hormone de bouturage. C’est un peu plus délicat qu’avec les figuiers. Tu peux suivre les conseils de l’article bouturage du clémentinier, le procédé est similaire. N’hésites pas à faire de nombreuses boutures pour maximiser tes chances de succès. Si ils repartent tous, tu pourras en offrir à tes proches et il en restera pour toi.
Je te souhaite une belle soirée
Ben
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Coucou Ben,
Je n’arrive pas à en trouver, je vais retourner en jardinerie ce week-end.
Et promis je ferai un article pour montrer mes plants comme ça cela me donnera une occasion de parler mieux de ton blog aux autres abonnés !!
belle journée
Corinne
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Coucou,
Normalement tu devrais trouver ça quelque part entre les engrais et les produits phytosanitaire. J’attend ton retour sur cet atelier bouturage avec intérêt et impatience.
Au plaisir de te lire prochainement
Ben
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J’ignorais qu’il y avait autant de variété de figuiers !
C’est un arbre que j’aime beaucoup, j’aime particulièrement le parfum que dégage les feuilles au printemps.
Merci Ben, tes articles sont toujours riches et très instructifs.
Belle journée.
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Merci pour ton passage et pour ton appréciation,
Il est vrai que les figuiers dégagent de bonnes odeurs à certaines périodes, je l’apprécie aussi pour l’ombre qu’il apporte lorsqu’il prend de l’âge.
Je te souhaites un bon week-end
Ben
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Toujours très intéressant.
La Normande que je suis ignorait beaucoup de noms de variétés !
Bonne journée.
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Merci pour ton mot,
en effet les variétés sont très nombreuses, pas toujours facile de s’y retrouver. Il s’agit ici des variétés les plus couramment cultivées mais la liste n’est pas exhaustive.
Excellent week-end à toi
Ben
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Moi non plus je ne connaissais pas toutes ces variétés de figues. Celle que j’ai toujours mangé est la violette de Sollies que j’aime beaucoup : elle est très parfumée et bien charnue.
N’ayant pas de jardin mais seulement une terrasse, je pourrais me lancer dans la culture en pot, mais j’hésite quand même.
Reste que votre article est, comme d’habitude, très intéressant et instructif. Très bonne journée
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Bonjour Elienad,
La violette de Solliès est délicieuse, j’ai la chance de vivre sur sa zone géographique de production AOP, je regrette cependant leur prix un peu élevé.
Pour votre terrasse vous pouvez tenter la variété Dalmatie, qui est de culture facile et de dimensions plus modestes. Il produit de belles figues jaunes à la chair rouge bien parfumée.
Bon week-end à vous
Benjamin
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Exellent l’article, tu nous régale toujours !
Vivement d’ autre article aussi complet que diverse.
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👍Merci l’ami Holmes,
c’est toujours un plaisir d’avoir ta visite sur le blog.
Je te souhaite un bon week-end
Ben
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Salut Ben. Je suis heureux que tu reprenne « autonomie jardin » vu la qualité du contenu de tes articles. Peut-être un livre à partir de tout ce que tu as compilé?
Gros boulot que ce post bien documenté.
Merci à toi.
Alan
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Merci Alan pour ton intérêt et tes encouragements,
J’ai effectivement le projet de compiler un peu tout ça prochainement, mais je réfléchi encore à la forme à donner à un tel ouvrage.
J’ai eu bien du plaisir à rédiger ce post car j’aime beaucoup les figuiers, tant l’arbre que ses fruits. La diversité des variétés est également un aspect très intéressant de ce bel arbre fruitier.
à bientôt
Ben
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Coucou Ben,
J’ai une abonnée photographe qui propose de parler de ton livre au travers d’un article.
Elle ne travaille malheureusement pas en ce moment à cause du covid, elle est heureuse d’offrir son blog en partage pour parler d’auteurs.
J’ai parlé de ton livre .
Elle te propose de la contacter, afin de faire un vrai article.
https://wordpress.com/read/feeds/77774413/posts/3023630144
Elle s’appelle Séverine, elle est très talentueuse et fort sympathique !! Comme toi 😉
Son blog – Regard en images –
Bonne journée Ben
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Salut Corinne,
🙏Merci infiniment pour ton aide, je viens de parcourir le blog de Séverine, c’est un joli site, bien agréable à consulter. Je vais prendre contact avec sa talentueuse rédactrice et photographe, afin que nous puissions travailler à ce post.
Je te souhaite une agréable journée
Ben
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Avec plaisir et très belle journée 😙
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Mince, je n’ai pas taillé mes bouts de branche ! 😉
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Ce sera sans conséquences, vous vous rattraperez l’an prochain😉.
Belle journée à vous
Ben
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Le figuier blanc à qui j’ai emprunté les 2 bouts de branche n’existe plus, il poussait dans une courette abandonnée, depuis propriété de la mairie, et gênaient l’ouverture des fenêtres de mes nouveaux voisins, c’était un semis d’oiseau… mais les figues étant excellentes je suis sortie quand j’ai entendu la tronçonneuse pour prélever la 2ème bouture que j’ai mise dans le même (gros) pot semi-enterré, et dans la partie du jardin où en principe le gel ne dure pas, que la première (prélevée en fonction de la lune) 😉
Elles prennent ou pas, on verra au printemps prochain ! 😉
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